Si vous n’avez pas de montre de pêche, vous pouvez consulter le calendrier lunaire en ligne afin de connaître les jours de sortie favorables.
Il suffit de cliquer sur : www.calendrier-lunaire.net influence sur les poissons
ensuite sur calendriers lunaires, puis sur pêcher avec la lune, choisir le mois et télécharger.
A Monsieur le ministre responsable de la pêche, aux Fédération de Pêche et aux AAPPMA quand allez-vous prendre la bonne décision car ce n’est pas les pêcheurs d’anguilles à la ligne qui sont responsables de la disparition de l’anguille.
Les responsables sont les pêcheurs professionnels et les braconniers qui pêches la jeune anguille (CIVELLES OU PIBALES) dans les fleuves, estuaires, rivières, sur les barrages , vous rajoutez les diverses pollutions aux métaux lourds, aux PCB, aux pesticides et engrais voici tous les responsables de la disparition des anguilles.
Fermer cette pêche pendant au moins 5 ans, et interdisez le commerce totale de l’anguille.
Allez visiter ce site http://www.logrami.fr/node/90
Très bien fait sur les poissons migrateurs de Loire gérer par l’Association Loire Grand Migrateurs, un site très ludique
Les programmes en faveur des poissons migrateurs du bassin de la Loire s’inscrivent depuis le début dans plusieurs documents de cadrage et de planification :
le Contrat Retour aux Sources, au niveau national, le Plan Loire Grandeur Nature, le SDAGE et le Plan de Gestion des Poissons Migrateurs au niveau du bassin, et les SAGE, les contrats de rivière et les contrats restauration-entretien au niveau local. la suite sur le site
La Garonne et son estuaire accueillent encore les huit espèces de migrateurs amphihalins : la grande alose, l’alose feinte, l’anguille, l’esturgeon européen, la lamproie fluviatile, la lamproie marine, le saumon atlantique et la truite de mer.
La Garonne constitue l’axe majeur de migration pour les poissons grands migrateurs, reliant l’Atlantique jusqu’aux Pyrénées. L’estuaire de la Gironde, véritable milieu de transition, joue un rôle clé dans l’adaptation physiologique des poissons grands migrateurs au passage d’un milieu marin à un milieu fluvial, et vice versa. La Garonne est un lieu de reproduction et les graviers de son lit abritent les œufs. C’est aussi un milieu nourricier.
Il a fallu attendre les années 1970-1980 pour que les pouvoirs publics étendent le plan de sauvetage du saumon à l’ensemble des espèces migratrices, imposent des dispositifs de franchissement de barrages, prévoient des alevinages, limitent la pêche et redonnent un avenir à des espèces emblématiques en pays de Garonne
L’esturgeon européen : Il est sur la liste rouge des espèces menacée de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le système Gironde-Garonne-Dordogne abrite les dernières frayères.
L’anguille : Longtemps considérée comme nuisible, elle fait actuellement l’objet de toutes les attentions. Des mesures d’urgence aux niveaux national et local s’imposent pour la sauvegarde de l’espèce.
La grande alose : La Garonne et la Dordogne ont longtemps accueilli la population de grande alose la plus importante d’Europe. Aujourd’hui, cette espèce, de la famille de la sardine, connaît une baisse d’effectif préoccupante. Un plan de sauvegarde de l’espèce a été mis en place en 2008.
La lamproie marine : Elle est pêchée dans la partie aval de la Garonne, au filet ou dans des nasses. Cuisinée « à la bordelaise », en civet, est ensuite commercialisée en conserve. C’est l’espèce migratrice la plus abondante.
Le saumon atlantique : Disparu dans les années 1970, le saumon atlantique repeuple peu à peu le bassin de la Garonne, grâce au plan de restauration.
Quelque Black-Bass l’été 2008 dans les courants sur le Thouet en sèche, dans l’ensemble à part certains au environ de 25cm, la plupart ne dépassent pas les 15cm, mais ils vont grossir !!
Le black-bass est un poisson carnassier originaire des États-Unis, c’est un excellent combattant pour un poisson d’eau douce et il est l’adversaire idéal pour un pêcheur à la mouche. La nourriture du black-bass varie selon la saison et il est indispensable de s’adapter pour espérer des prises régulières.
Au printemps le black chasse essentiellement sur les zones les moins profondes et notamment sur les bordures. Le black-bass est actif presque toute la journée, mais c’est aux heures les plus chaudes que vous piquerez les plus beaux poissons.
Pour la canne il faut une soie de 7/8, intermédiaires et un bas de ligne costaud.
Le temps de la pêche de surfaces arrive dès qu’on arrive sur les beaux jours. La pêche avec des
petits streamers plus discrets. Pour la canne : soie 4 à 6 est judicieux et un bas de ligne avec une pointe en 18/100 et d’une longueur de 3.50m.
Aux fortes chaleurs, il faut pêcher fin et être très discret. Pour la canne : soie 4 ou 5, bas de ligne long, pointe en 16/100 est conseiller.
Pour les mouches : des poppers, muddlers, imitations de grenouilles, de salamandres, de serpents d’eau, de souris et toutes les fantaisies que Bernard aime monter. L’anti- permet de pêcher dans les herbiers et les nénuphars surtout dans le Thouet.
En été, les imitations de libellules, de sauterelles et les gros sedges m’ont permis d’en piquer alors que je cherchais le chevesne. Les micros streamers sont susceptibles de plaire aux blacks. Montées sur hameçons 6 ou 8.
Pour septembre, le comportement du black se modifie. La préparation de l’hiver fait que notre carnassier va faire des réserves et il s’attaque à des proies plus grosses. On peut utiliser des mouches plus grosses, de 5 à 10 cm de long.
Le matériel nécessaire
Pour pêcher le black-bass, le matériel doit être adapté au type de pêche que vous désirez pratiquer car, la technique de pêche de ce carnassier est très différente d’un bout à l’autre de l’année. Attention il est préférable de pêcher quelque fois avec un bas de ligne en acier, pour prévoir les attaques des brochets.
Conseil, l’utilisation d’hameçons dont les ardillons sont écrasés permet de décrocher le poisson dans les meilleures conditions.
Rappel la taille légale du black peut varier de 25 à 35 cm selon ou vous êtes, à vous de vérifier ; le mieux étant la pêche en NoKill.
Le chevesne est considéré comme omnivore, toute l’année il se nourrit de proies diverses assez grandes (insectes, fruits, …), il accepte toute sorte d’appâts comme la mouche artificielle
Taille commune de 30 à 45 cm pour 500 g à 1 kg, a partir de 38 cm ils se battent bien et attention si vous pêcher des courants légers car les départs sont fulgurent et la casse aussi surtout si vous avez un bas de ligne trop fin , pour ma pars je ne descends jamais en dessous du 14 centième. Continuer la lecture
Champaillard
Champaillard, était le lieu dit ou habitait mes grands parents côté paternel (Julien et Léontine).
Où ils élevaient un troupeau de chèvres (une vingtaine de mémoire).
Attaché au village d’Orbé commune de Saint-Léger-de-Montbrun 79,
Ils vivaient dans une maisonnette de la SNCF, le long de la voie ferrée Thouars/Chinon au milieu des bois, pas d’électricité, pas d’eau courante il y avait le puits, pas de gaz non plus. Le chauffage se faisait avec la gazinière à bois et la cheminée, l’éclairage les lampes à pétrole et les bougies provoquant des ombres le soir sur les murs, rappelant des personnages qui nous faisaient peur.
On cuisinait sur la gazinière à bois mais aussi dans la cheminée qui était très grande où, il y avait de temps en temps une soupe ou un pot-au-feu qui cuisait dans le chaudron pendu à la crémaillère.
L’hiver lors de nos vacances ont s’endormait dans un lit épais ; matelas et édredon en plumes
Julien qui prépare un lapin
et une brique chauffée enroulée dans un linge à nos pieds, que du bonheur !. Le matin en descendant de l’étage on sentait le feu de cheminée qui crépitait, les parfums de lait de chèvre chaud que l’on prenait au petit déjeuner et les odeurs de pain grillé devant les flammes. Notre terrain de jeu c’était les bois que l’on connaissait par cœur.
Léontine
Léontine (née à Triou de Mougon ; 79 entre Niort et Poitiers) s’occupait d’un immense jardin qui était en contre-bas devant la maison. Un caractère dur, qui a été habituée à travailler sans rien dire avec qui j’ai beaucoup échangé. C’est elle, l’hiver qui coupait le bois ; arbres abattus, débités en bûches et les petites branches en fagots pour la cheminée. Sa cuisine suivait les saisons tous les légumes essentiellement du jardin, beaucoup de conserves qu’elle faisait elle même, beaucoup de confitures (fraise, tomates vertes à l’automne, sureau, prune, coing etc …).
Elle utilisait le beurre, le saindoux, l’huile de noix et les graisses selon la récupération des fabrications. Une quantité d’herbes aromatique qu’elle cueillait au fur et à mesure ou qu’elle faisait sécher pour l’hiver. Un élevage de lapins, poules (pour les œufs), poulets, oies, canards, dindes et cochons d’inde (élevés avec les lapins pour protéger des rats), tous ces produits alimentaient une superbe cocotte en fonte. Il ne faut pas oublier les rôtis de chevreau à l’ail vert à pâques. La cuisinière à bois était toujours en marche, dessus il y avait en permanence une bouilloire d’eau bouillante et souvent un ragoût à mijoter doucement. La marmite pendu dans la cheminée à la crémaillère servait régulièrement.
Julien
Un goret (cochon) était tué de temps en temps dans l’année, donc conserves, Pâtés, boudins, rillettes, rillauds, saucisses,
mise au sel , et un jambon était toujours accroché séchant dans ou près de la cheminée. Je me souviens des montagnes de tourtisseaux saupoudrés de sucre glace, des grandes tartines de pain de 4 avec beurre et confiture au goûter de 4H00, des tartes aux prunes, Broyé du Poitou
La Grimolle du Poitou etc. .
Et mon grand-père, Julien (né aux Roches Prémarie Andillé 86 en dessous de Poitiers) s’occupait des chèvres, il les emmenait paître le long des chemins dans les bois, la traite le soir à la main, La confection de faisselles pour les Chabichous. Il avait l’art et la manière pour tuer le chevreau et le dépecer (à la pompe pour décoller la peau). Sinon il allait jouer à la belote au café du village que l’on appelait la Société (géré par ses adhérents), et comme disait ma grand-mère lorsqu’il rentrait, « il a encore sa musette », disons qu’il avait but plus que la normale.
Ma première montre de pêche la Casio FT 200W, je l’avais depuis 1998 mais tout ceux qui l’on achetés savait qu’elle aurait du mal à passer 2010. Et bien elle à tenu jusqu’au 01/01/2012, depuis elle ne veut plus rien savoir, elle ne calcule plus rien et se remets sans arrêt au 01/01/0000. Donc je l’ai changé pour la dernière AQW-101-1AVER photo ci-contre. J’ai téléchargé le mode d’emploi en français lien fourni par l’ami LMR, heureusement, car la notice fourni avec vous avez toutes les langues , mais pas de Français.
Les tables de KNIGHT des périodes solunaires sont encore éditées annuellement aux Etats-Unis sous forme de petit livret et il est possible de retrouver sur Internet les renseignements nécessaires à leur acquisition. La montre remplace les tables de KNIGHT.
Les fonctions : une lampe électroluminescente éclaire le cadran pour faciliter la lecture de l’heure Les aiguilles et/ou l’index ont un revêtement fluorescent et continuent à briller dans l’obscurité lorsque la montre a été exposée auparavant à une source lumineuse. Les phases de la lune s’affichent sous forme de symboles d’après les réglages individuels de position géographique Pour savoir quand le poisson va mordre : la montre affiche une icône poisson signalant l’heure de pêche idéale. Un capteur mesure la température ambiante et l’affiche en degrés Celsius (-10°C /+60°C). La fonction d’heure universelle affiche l’heure dans 29 fuseaux horaires et les grandes villes du monde. Une fois programmé, le calendrier automatique affiche toujours la date correcte. Le verre minéral dur et résistant aux rayures protège la montre des dommages inesthétiques. Bracelet en résine Grâce à son extrême durabilité et sa souplesse, la résine naturelle constitue un matériau idéal pour les bracelets. Elle est étanche jusqu’à 20 bars, l’équivalent de 200 mètres. Encore plein d’autres choses …… Prix je l’ai trouvé à 55€ sur internet (envoi compris).
Les deux premiers modèles de marque CASIO ont été commercialisés en France et à un prix abordable: le module 844-FT 100 « Fish en time » et puis le module 2632-PRS 400 « Protreck ».
Les deux permettent de programmer aisément : Longitude et latitude, décalage horaire GMT. Ceci fait, les quatre périodes solunaires journalières peuvent être affichées. Pour des coordonnées géographiques et décalage horaire GMT inchangés, elles sont mises à jour, automatiquement et journellement à minuit pour le lendemain.
En programmant à volonté les paramètres pour une date passée ou à venir et pour n’importe quel lieu de pêche, il est possible de retrouver ou de prévoir les périodes solunaires correspondantes. La fourchette des dates programmables est de 1985 à 2029 inclus pour le module 844 et de 2000 à 2039 pour le module 2632.
Les deux modules affichent aussi des figurines de poissons : de zéro à quatre selon la phase de la lunaison et les périodes solunaires journalières. Il est donné comme indicateur de niveau plus ou moins favorable mais son intérêt semble anecdotique. Par exemple, il apparaît toujours à un maximum à cheval sur trois ou quatre jours au moment de la pleine lune contrairement à ce qui peut être constaté et considéré comme une période médiocre dans la pratique.
Quand on a utilisé une de ces montres, il est difficile de concevoir qu’on puisse partir à la pêche sans l’avoir au poignet car bien entendu elles sont étanches et supportent sans dommage les intempéries ou la baignade. J’ai remarqué à plusieurs reprises, suivant l’heure indiquée, l’activité des poissons qui commence au moins 15mn avant, pour finir 15mn après.
